mardi 16 décembre 2008

en hommage aux marsouins et autres bigors

Mon amant de la Coloniale (Edith Piaf)
Refrain (1 et 2)
C’était un gars, de la Coloniale
Il avait là, partant du front
Et descendant jusqu’au menton
Une cicatrice en diagonale
Des cheveux noirs, des yeux tous pâles
La peau brûlée par le soleil
J’en ai plus jamais vu pareil
A, mon amant de la Coloniale

Refrain (3)
C’était un gars, de la Coloniale
Il avait là, partant du front
Et descendant jusqu’au menton
Une cicatrice en diagonale
Des cheveux noirs, des yeux tous pâles
La peau brûlée par le soleil
J’en ai plus jamais vu pareil
Il est parti vers le soleil
A, mon amant de la Coloniale

Couplet I
Il était fort, et puis si tendre
Dés notre première nuit
Je sentais que je ne pourrai plus me reprendre
ET ? que pour toujours, j’étais à lui

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