mercredi 31 août 2005

Vestiges d'un passé révolu, les cheminées d'usines du Dunkerquois sont-elles condamnées à disparaître? Finis les bruits de métiers, les sirènes des pauses et le brouhaha des équipes venant travailler. Petit à petit, les cours se ferment, les bureaux se murent et les fabriques se réfugient dans le silence de la mort lente des friches industrielles.

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